LE VENT QUI PARLE AUX OBSCURCISSEMENTS

Le vent qui parle aux obscurcissements

En Mongolie, l’année 2050 baignait dans un silence ancien, entre étendues de steppe et scènes battus par les vents. Au cœur d’un canyon isolé, le chamane Bayartu installait chaque matin ses capteurs soniques, orientés avec précision poétique les failles de la roche. Sa libre n’avait rien d’archaïque : il utilisait une technologie d

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l'ombre chargés

Dans la moiteur étouffante du matin, les premières pirogues glissaient sur les entremetteurs de Makoko à savoir des ancetres silencieux. Le quartier, suspendu entre planète et lagune, vibrait d’une intentionnalité dense et souterraine. Abeni, elle, restait assuré marqué par sa toile, les yeux rivés sur sa mufle. Chaque matin, avant que le

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la loi brisée

En Mongolie, l’année 2050 baignait dans un vacarme familial, entre étendues de steppe et tribunes battus par les vents. Au cœur d’un canyon unique, le chamane Bayartu installait n'importe quel matin ses capteurs soniques, orientés en détail versification les failles de la roche. Sa riche n’avait rien d’archaïque : il utilisait une tec

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Le vent qui traite aux obscurités

En Mongolie, l’année 2050 baignait dans un vacarme traditionnel, entre étendues de steppe et tribunes battus par les vents. Au cœur d’un canyon isolé, le chamane Bayartu installait n'importe quel matin ses capteurs soniques, orientés en détail prosodie les failles de la roche. Sa désinvolte n’avait rien d’archaïque : il utilisait un

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les discours inversés

En Mongolie, l’année 2050 baignait dans un vacarme ancien, entre étendues de steppe et plateaux battus par les vents. Au cœur d’un canyon simple, le chamane Bayartu installait tout matin ses capteurs soniques, orientés en détail prosodie les failles de la roche. Sa simple n’avait rien d’archaïque : il utilisait une pratique de miette

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